Erex 24 et Performance
E-REX24 : Un moyen non dopant d'amélioration de la Performance
On sait que la testostérone, l'hormone de la virilité, est aussi à la base des résultats et des performances des athlètes de Haut Niveau. Elle est aussi assez facile à synthétiser mais consommation n'est pas sans danger !
Les premiers à s'injecter de la testostérone synthétique furent des athlètes soviétiques, bientôt suivis par des coachs américains. Dans les années 1960, les records s'envolèrent dans la plupart des disciplines sportives, en particulier dans les lancers et les courses de fond.
Ainsi les athlètes acquièrent des gabarits impressionnants. Du jamais vu sur les stades ! Si l'effet est extraordinaire sur les sportifs hommes, il est pour le moins stupéfiant et déconcertant chez les femmes sportives.
A l'époque, les athlètes se « gavaient » de testostérone synthétique tout en s'entraînant encore plus dur. Ils mangeaient encore plus une nourriture à base de protéines animales.
Des régimes de 9000 Kcal permettaient des prises de masse musculaire de 25 kilos en 6 mois seulement !
De la sorte, on limitait les effets de la fatigue et on augmentait la durée d'entraînement, tout en accélérant la vitesse de récupération. Ce qui permettait une intensification accrue de l'entraînement. La conséquence était évidente : les performances s'accroissaient grandement !
Les autorités sportives y mirent le holà et déclarèrent illégale la prise de testostérone. Elle fit alors considérée comme un dopant.
Des exemples avérés de dopage
Les cas positifs de dopage à la testostérone se sont multipliés dans les années 1980 avec la mise en place de contrôles par les fédérations sportives. Ainsi :
- En 1983, le finlandais Vainio fut contrôlé positif au Marathon de Rotterdam et fut disqualifié du titre olympique du 10 000m en 1984
- En 1987, le polonais Niemzak, 2e au Marathon de New York
- En 1988, la marathonienne belge Rita van Landeghem lors d'un contrôle pré-olympique
- En 1988 aussi, le célèbre athlète américain Ben Johnson fut confondu par bêtise
- En 1990, le soviétique Sirjet Eichelman au Marathon de Los Angeles
Les risques dangereux du dopage à la testostérone
La prise de testostérone exogène entraîne de graves intoxications et des lésions des cellules du foie, une augmentation du risque de cancer et des accidents cardio-vasculaires. On soupçonne ainsi que la mort prématurée de bon nombre d'athlètes de haut niveau fut due à leurs pratiques de dopage à la testostérone.
En plus l'injection de testostérone synthétique et d'origine exogène inhibe la propre production endogène de testostérone de l'individu.
La conséquence en est dramatique : c'est l'atrophie des testicules !
Pour la femme, on assiste à sa « virilisation ». La voix devient rauque. Les cheveux deviennent plus fins et une calvitie précoce s'installe. Le menton et la lèvre supérieure se couvrent de poils.
De même, la face intérieure des cuisses, l'espace entre les seins et le tour des mamelons deviennent velus. Les règles sont stoppées, le clitoris a tendance à grandir exagérément. Les seins s'atrophient. Le bassin s'affine et les épaules s'élargissent de façon démesurée.
La solution naturelle E-REX24 pour améliorer la performance sans dopage !
Tout le monde s'accorde pour reconnaître que la testostérone exogène est un moyen facile pour améliorer grandement la performance de l'athlète. Mais ce moyen n'est pas sans danger : risques de cancer et de graves accidents vasculaires, sans même parler des cas de mort prématurée.
En plus, au lieu de développer la virilité, elle inhibe sa propre production de testostérone endogène.
Ce qui se traduit chez l'homme par l'atrophie des testicules.
Or E-REX24, la nouvelle formule américaine pour lutter contre les virilités défaillantes, a l'énorme avantage d'être 100% naturelle et d'induire une étonnante augmentation de sa propre testostérone endogène par ses testicules ! Ce n'est pas illégal et EREX24 ne peut pas être considéré comme un produit dopant. Comme l'augmentation de sa propre testostérone se traduit par une limitation des effets de la fatigue, une accélération du temps de récupération et une augmentation de son temps d'entraînement, la conclusion pour l'athlète est évidente : ses performances sportives ne pourront que s'améliorer.